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Ordinateurs et tableaux avec le sponsor

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La directrice d’une école de Galliate, en province de Novara, a trouvé une solution de brocanteur comme « Italo Calvino », pour trouver des fonds pour son école en vendant les vieux tables des grands-parents

avec encriers et tous les meubles du début du XXe siècle que a trouvé en cave. À Monza, l’école élémentaire Buonarroti a demandé des fonds à des entreprises locales pour financer les ateliers de théâtre en échange de publicité en ligne et sur le tableau de l'école. Il a obtenu mieux le Mamiani, l’historique lycée romaine où la directrice a fait un appel public et ils sont arrivés, par une célèbre marque d’ordinateurs, une cinquantaine de postes de travail complète pour les élèves restés sans computers à la veille de la révolution numérique annoncée dans les écoles italiennes . Trois exemples qui aimeraient certainement au Ministre de l'Éducation Maria Chiara Carrozza, qui a annoncé des plans pour promouvoir la collecte de fonds dans les écoles publiques en crise de financement de l'État.

L’AMÉRIQUE - Un modèle américain, comme elle a expliqué au cours des ces semaines: l'idée du Ministre est que, non seulement les entreprises, mais les anciens élèves, qui a eu succès grâce à leurs études, on regard en arrière pour contribuer parce que aussi les nouvelles générations peuvent avoir ses propres opportunités. "Selon moi c’est une manière pour échapper à le problème de ressources scolaires qui ne existent pas, l'école n’est pas une foire," met immédiatement ses mains en avant Mimmo Pantaleo de la CGIL école: "Autre sont les cases vertueux de coopération qui existent déjà". "Il est bon d'encourager la contribution des communautés, améliorer le traitement fiscal des donations à condition qu'il soit complémentaire aux efforts de l'État », dit Giovanni Vinciguerra de" Tuttoscuola ".

FINANCEMENTS - Selon les données d'Eurostat l’Italie investit seulement 4,4 pour cent du PIB pour l'éducation alors que la moyenne européenne est de 5,2. "Et il montre: la règle dans la plupart des Pays développés dépensent beaucoup plus d'argent pour les écoles - insiste l'ancien Ministre de l'Éducation Luigi Berlinguer -. Est-il correct de demander de l'aide à des personnes privées, à condition que la gestion soit contrôlée ».

de Gianna Fregonara

Source:

Corriere


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